Le pouvoir enfin à moi !

Je survoler la cité ; je sentais au plus profond que Lia était encore là et compris alors qu'il serait alors difficile de la faire partir . Je réfléchissait et cherhant un endroit où je pourrais exercer mon rituel. J'avais surveiller Lia depuis sa venue en ce lieu et sut à peu prés ces péripéties , je décidais de me poser à la bibliothéque. Elle était fermé , ce fut un jeu d'enfatn d'y pénétrer; je fermais les yeux et je me téléporta vers ce lieu , j'entrais enfin dans cette piéce où Lia était entrée la premiére fois de sa visite . Rien n'avais changé , le vitrau était encore là il n'avait pas changé , j'arrivais alors prés du sceau et dit alors :
Lite latobalita uls alialos bal nétolill .
La porte resta ouverte , le vitrau changea , je reconnaissais bien là Afit mon ancêtre . Cependant je restais bloqué , je ne pouvais pas bougeais et avait mal à la tête :
Lia!!
Non je ne te laisserais pas faire !
Cette peste me résister mais comment faisait elle ? Son pouvoir commencer peut être à se développer , il fallait donc que j'en finisse au plus vite :
Il est trop tard pour toi !
Pourquoi dis tu ça d'avance rien est joué !
Oh que si trés chére , regarde bien cette salle .
Effectivement cette piéce qui avait servit à trouver tout les souvenirs de Lia c'était transformé en une autre salle , il y avait des livres par centaine et un tableau ; j'allais voir et commença à rire , c'était le portrait de Lia avec ses parents :
Regarde , on t'a fait un cado , dommage tu n'en profiteras pas...
Je regardais alors dans cette salle , au centre il y avait un autre sceau , un sceau en forme d'étoile y était inscrit , il faillait que je me mette au centre pour en finir avec Lia.
J'en apelle à mes ancétres , écoutez moi en ce jour bénit ,nos dieux sont au cieux parmis vous, ces dieux sont parmis ces ancêtres , ils ne peuvent la défendre.
Aujourd'hui notre rêve s'accomplit , nous allons prendre possetion de ses pouvoirs , son corps disparaitra et mon corps reviendra!
Le cercle s'illumina autrou de moi , mais j'entendis Lia qui disais quelquechose , elle essayait de comuniquer avec quelqu'un mais qui.....Eros!
Eros , Eros , réveille toi vite , ce n'est pas moi qui t'ai fait ça ; réveil toi je t'en pris ; je suis à la bibliothéque , dépéche toi il veut que.....
Elle essaye de me bloquer à nouveau :
Assez!
Je me battais contre elle , âme contre âme , elle avait déjà tout utiliser pour parler à Eros et ce fut un jeu d'enfant de la battre , elle était trop faible.
Je sortis alors de ma poche une dague fait de mon ancêtre , elle a été consus exprés pour ce jour ; je me tailla une veine et verça mon sang dans ce sceau :
Dieux de la vie éternelle
Dieux de la mort éternelle
Donnez moi ces pouvoirs qu'elle a en elle
Pour que puisse s'accomplir mon destin ....
Il fallait que je le répéte seiza fois pour pouvoir en finir pour de bon avec Lia...

À l'infirmerie, Éros se réveilla lentement.
Quelque chose l'avait tiré de son sommeil, comme un appel.
Pourtant, il n'y avait qu'Ébène et Éros doutait que l'aigle lui est parlé. Le mi-ange se releva et rassembla ses souvenirs et gémit.
Il aurait préfèré que les brides de mémoire restent enfouis.
Lia l'avait attaqué!
Le métis passa une main derrière sa tête dououreuse. Puis, il entendit une voix.
Lia?!
Ce n'était pas elle qui l'avait attaqué? Elle était à la bibliothèque? Pourquoi devait-il se dépêcher?
Éros haussa les épaules. Il se dirigea vers la fenêtre, suivis par Ébène. D'un coup d'ailes, ils se retrouvèrent dans les airs, direction... la bibliothèque!


Arrivé devant la bâtisse, Éros repéra une fenêtre mal fermée. Ce fut un jeu d'enfant de passer par l'ouverture. Rendus dans la bâtisse sombre, il attendit que sa vue s'habitue pour ensuite se concentrer sur son environnement. Ébène semblait agité, pourquoi, le mi-ange n'en savait rien. Soudain, il entendit une voix beaucoup plus loin.
Intrigué, Éros marcha lentement vers une porte et l'ouvrit.
Devant lui, une silhouette était debout et psalmodiait d'étrange parole. L'aigle noir poussa un cris rauque et la silhouette se retourna, dévoilant son visage.

Lia!! s'exclama Éros.

Plus qu'étonné, Éros ne bougea pas pendant quelque secondes. Il vit alors Ébène foncer sur la jeune fille, faisant tournoyer des plumes noires. Le mi-ange le suivit aussitôt, craignant pour la santé de Lia. un aigle en colère n'évalue pas toujours les dégats qu'il cause.

Je continuer mon rituel quand j'entendis :
Lia!
Je me retornais alors et dit :
Encore toi !
C'était Eros , le message de Lia lui avait été parvenu ; son aigle vint vers moi et il m'attaqua , il me prit un peu de peau au visage , ça faisait trés mal . Je le pris et le claqua contre le mur , la béte était à terre inconsciente ; Lia m'avait encore une fois empécher de le tuer. Elle essaya de reprendre le dessus elle réussi à dire :
Nache!
La formule et le rituel furent tout deux annulés , cela m'énervais beaucoup , regarda le mi - ange je ids :
Tantr pis c'est toi qui va payer!
Je saisis Eros avec mes mains , et fis en sorte que son corps se rétacte , il allait mourir :
Non !
Lia prit le controle et nous propulsa contre le mur la dague vint vers Eros Lia se leva et lui dit :
Eros tu dois me tuer !
Le jeune homme prit la dague comme je repris le controle je lui dis :
La tueras tu ? Elle ressent beaucoup de choses pour toi !
Ne l'écoute pas Eros tus moi !
Le mi ange prit la dague la regardait ne sachant pas quoi faire ...

La tuer?
Lia ne se souvenait donc pas qu'il ne se battait jamais?!
Éros se redressa et regarda la dague sans savoir que faire. Soudain, un poid énorme vint frapper ses genoux. Le mi-ange fut malgré lui propulsé vers Lia.
Sans qu'il ne puisse rien faire, la dague se planta d'elle-même dans la poitrine de Lia, râtant le coeur de peu.
Le métis roula sur le côté avant de se redresser. Il vit l'arme enfoncer dans le corps de son amie et tomba à genoux près de Lia.
Ébène rejoignit Éros en titubant.
Celui-ci tira Lia vers lui et la serra dans ses bras.

Il murmura alors une litanie d'excuse entre-coupé de sanglot.
La berçant comme un enfant, Éros implora l'énergie des environ de venir guérir son amie. Quelques sphère vertes traversa les murs et vint cicatrisé la blessure.
Mais Lia ne se réveillait pas.

Lia était au commande à ce moment , elle regarda son ami qui pleurait ; elle lui sourit et elle verça une larme et je repris le controle.
Cet ange était vraiment une moviéte , il toucha quand même le corps de Lia , j'en profitais alors pour ouvrir les yeux et le regarda lui dit :
Merci!
Je le propulsa contre le mur :
Il est temps dans finir avec toi Lia , ton sois disant ami ta trop affaiblit , je ne le tuerais pas pour la peine. Allons nous battre pour de bon.
Nous partimes en direction du lac , pour la premiére fois , je reussi à voler c'était certainement le pouvoir de Lia qui venait en moi ; arrivant au lac , je mis le corps bien au centre . L'ame de Lia et la mienne sortirent du corps , ce dernier sangloutit dans l'eau. Nos deux âmes se battaient , autour de nous un orage se présenté , les étoiles brillaient de plus belle ; je suis sur que j'allais gagné.....

Pour la première fois de sa vie, Éros était en colère.
Ébène sentit le changement chez le métis et préféra restait en retrait.
S'agenouillant sur le sol de la bibliothèque, Éros joignit les mains et commença à prier son père séraphin.
Ses lèvres formulaient une prière inodible pour l'aigle noir, mais qui faisait tout un vacarme au ciel.
Le métis fut entouré de lumière verte qui tournoyait en l'attente d'un ordre.

Éros sourit, son père l'avait entendus.

Aidé Lia. ordonna Éros à la lumière.

La lumière devint des sphères qui sortirent de la bibliothèque et foncèrent vers l'endroit où les deux âmes se battaient. Les sphères redonnèrent alors à Lia ses pleins pouvoirs en rétablissant son énergie à un stade normal.

Pendant ce temps, Éros attendait, toujours à genoux sur les dalles froides...

Je me battais contre Shuya , mais trop faible , je perdais à plate couture , il fallait pourtant gagné car le monde serait réduit à néant. C'est alors que des lumiéres vertes vinrent vers moi ; elle me guérrisait , je sentais alors la présence dEros , il priait , il m'aidait ....
Mes forces revenues j'étais plus que déterminé à gagné ; regardant Shuya je lui dis :
Ecoute moi bien tu entends , je te battrais ; même si je dois mourrir il en va du destiin de ce monde.
Tes paroles héroique ne serviront à rien , tu va perdre , grave ça dans ta tête . Tu serais prette à sacrifié ta vie pour ce monde qui ne t'a fais que du mal !
Nous continuons à nous battre ; j'entendais alors la voix de mes parents qui m'encourager .
Tu vas mourrir . Lintu!
Il m'envoya une attaque psychique qui me toucha peu ; je le regardais mes yeux pleuraient ; le soleil derriére moi réaparut et je lui dis :
Voilà à quoi se raporte ta hain et ton égoisme ; tu vas mourir tout comme moi je vais mourrir tel et ton sort et le mien! Vamous!
Vamous était le mot interdit , il détruiser n'importe qu'elle âme , c'était la pire de malédictions qui puisse éxister , elle repasser des actions passés qui pouvait nuire l'esprit de l'ennemi . Mon âme fonça vers celle de Shuya , le pénetrant je lui fis goutait à tout le mal qu'il a fait en lui repassant le scéne de la mort de ces parents , cette scéne le détruisa et nos deux âmes disparurent.

Le combat s'aissant , le soleil revins et la paix aussi , seulement une petite étincelle réaparue , le corps de Lia remonta à la surface , cette étincelle entra en elle et le corps resta sur l'eau , il ne coulait pas .....[/url]

Éros sourit dans la bibliothèque.
Devant lui, une silhouette de lumière apparut. L'apparation appaisa les sentiments d'Éros qui redevint aussi pure qu'avant.

C'est fait, Éros. J'ai un message de ton père. prononça l'apparation.

Éros se fit attentif.

Il est fier de toi. termina l'apparition avant de disparaître.

Éros sourit et Ébène s'approcha lentement.
Regardant la porte par où ils étaient entrés, Éros prit une décision. Il ira chercher Lia.
Sortant de la bibliothèque à toute vitesse, le mi-ange précédé de l'aigle volèrent au-dessus de la cité pour trouver Lia. Ils la virent, flottant sur le lac.
S'approchant lentement, Éros prit lia dans ses bras à nouveau, vérifiant son pouls. Elle était vivante, mais extrèmement faible.
Volant le plus vite possible, le métis se dirigea vers l'infirmerie.

Je ne sais pas ce qui se passait , je croyais mourrir avec Shuya mais rien ne se passa , je sentais alors la chaleur de mon corps. Je ne savais que faire , j'étais dans une sorte de couloir noir ; je vis alors deux personne qui tenaient Shuya fermemant . Afit elle était là prés de moi , elle me tenait la main :
Tu ne vas plus mon voir ma chérie , je suis fiére de toi , tu m'as sauver.
Je ne pouvais rien dire , comme si ma voix s'était enlevé s'en doute parce que j'étais faible , Afit me prit dans ses bras , Et elle partit , elle pleurait ; elle me dit : Adieu ...
Je pleurais à mon tour , c'est alors que je sentis une autre main ; me retournant , je vis mes parents ; ma mére me tenait la main :
Mon enfant , aujourd'hui est un jour merveilleurx pour nous et notre famille ; nous sommes sures que tu es la profécie. Nous resterons toujours dans ton coeur . Sache que nous sommes fiéres de toi ...
Elle partit , vint alors mon pére , il em regarda et me prit dans ses bras :
Comme tu es forte ma fille , tu tiens de moi.....Lia ne te sous estime jamais et va au bout de tes pensés . Adieu...
J'essayais de courir aprés mes rien à y faire , je courais me n'avancer pas . Me retounant je vis une lumiére , une personne y était entouré mais qui était elle ? En me consentrant je reconnu Eros , la premiére fois que je l'ai rencontré et pendant que Shuya avait pris mon controle je ne pensais qu'à lui mais pourquoi ?

Pendant le vol, Éros sentit Lia commencer à bouger.
La tenant plus fermement, le mi-ange commençait à peiner. Heureusement, un coup de vent le poussa dans le dos, lui faisant prendre de la vitesse.

Ébène s'approcha gracieusement pour surveiller son élève.
Soudain, Lia ouvrit les yeux. Dans un sursaut, elle s'accrocha à Éros puisqu'elle ne sentait plus le sol.

Déséquilibré, le mi-ange tenta de se rétablir lorsqu'il aperçut enfin l'infirmerie.

Calme toi Lia, nous arrivons. murmura Éros.

La jeune fille cessa de gigoter ce qui permit à Éros de franchir la fenêtre de l'infirmerie sans encombre.