L'auberge du bon repos

La panthère se mit sur ses pattes arrière et rapidement Aigle retrouva son apparence naturelle... Mais était-ce sa réelle apparence ? Nulle ne pouvais en être sûr. Elle était belle, ravissante même et Yoko en fut tout de suite un peu jalouse.

--"Et bien rentrons" dit-elle en tenant courtoisement la porte ouverte à Sagato et sa fille. --"Je vous laisse choisir la table" poursuivit-elle.

La porte se referma lourdement avec un claquement sec. L'auberge était rustique et richement décorée. De lourdes tables de chêne patinées par le temps était disposée dans un désordre apparent et donnaient à l'ensemble une ambiance très conviviale. Sur les murs, des tapisseries représentant des scènes de chasses médiévales, flamboyaient sous l'éclairage vacillant des lanternes accrochées au plafond, donnant aux animaux quelles représentaient une saisissante impression de vie. Dans l'âtre de la cheminée, des rondins de bois sec crépitaient en prodiguant une douce chaleur reposante. Le choix de Sagato fut vite fait : Gwenaël était là, assise à une table tout à côté de la cheminée avec son dragon. En le voyant elle s'exclama :

--"Sagato ! Ca c'est une surprise ! Il y a longtemps que vous êtes dans la cité ?"
--"Nous venons d'arriver à l'instant..." Sagato poursuivit faisant les présentations : --"Tu connais Yoko, ma fille, et voici Aigle, une métamorphe que j'ai rencontré en arrivant"
--"Aigle, je te présente Gwen, une très bonne amie et son dragon Perceval. Mais installons-nous, nous mourrons littéralement de fin. AUBERGISTE ! As-tu mangé Gwen ?"

Le trio s'installa sans plus tarder attendant l'aubergiste avec impatience.

--"J'ai mangé sur le pouce, mais si vous diner, je prendrais bien un petit complément. Comment vas-tu Yoko, tu me parait bien remise de tes blessures" fit Gwenaël. Ajoutant plus froidement à l'intention d'Aigle :
--"Je ne crois pas vous avoir déjà vue à Akanterra Mademoiselle..."

On percevait dans la voix de Gwen comme une pointe de jalousie. Elle repris à l'intention de Sagato : "--Et que deviens-tu ?"

Sagato allait répondre lorsque l'aubergiste fit son apparition.
--"Bonjour M'sieur Dame que puis-je vous servir ?"
--"Moi je reprendrais bien une petite chopine..." déclara Perceval. Il venait d'écluser un litron de bière brune et en redemandait le bougre...
--"Je reprendrais une Gentiane" déclara Gwen.
--"Avez-vous du Saké ?" demanda à tout hasard le samouraï.
--"Du quoi ?" fit l'aubergiste intrigué.
--"Du Saké mon brave mais je me contenterai d'un alcool de grain."
--"Nous avons un petit tord-boyaux fait maison, mais je vous préviens, c'est costaud."
Sagato souriait, ça ne pouvais être pire que le saké... --"Va pour le tord-boyaux alors... Et toi Yoko ?"
--"La même chose que vous père... Ce sera bien..."
--"Et vous Mademoiselle ?" fit l'aubergiste à l'intention d'Aigle.

[Hrp]Bon ben désolé de te mettre sous pression pour les réponses. Gwen est mon second perso et ce sont de grosses retrouvailles Et puis comme ça, il y a un peu d'ambiance...[/Hrp]

Une porte s'ouvrit , la personne qui l'ouvrit resta muette , ce qui laissa l'ambiance assez glaciale . Quand on regardait bien , on vit que c'était une jeune femme , elle était blonde comme les blés et était habillé légérement . Elle avança un peu et tomba à terre , le sang s'écoula atour d'elle . Elle essaya de ramper mais à bout de forces , elle s'évanouie ....

La nuit avait doucement posait son voiles sur la somptueuse citée blanche berceau d'un nouvelle avenir. Les nuits étaient toujours particulières à Akanterra, mortelle dans les bas secteur, magnifique au sommet et animé dans les secteurs du milieu. Le secteur tierce faisait partit des derniers, toute les porte des tavernes était grande ouverte et projeté leur éclatante et chaleureuse lumière sur les pavés des rue. Les rues contrairement au secteur supérieur était désertes mais se qui rendait l'atmosphère chaleureuse était les rires, et les flot de conversation qui s'échappait comme de bruyante mélodie de marins...
La porte de l'auberge du bon repas s'ouvrit de nouveau. L'établissement était réputé pour sa propreté et son ampleur mais aussi et surtout pour l'excellente ration que l'ont obtient pour quelques pièces à peine.
L'homme qui avait pénétré se soir là était entièrement dissimulé sous un cape de pluie, et pour bien des clients le visage était invisible. Il était visiblement entré au mauvais endroit au mauvais moment car la moitié des clients était affalé autour d'une belle jeune femme au teint anormalement blanc. Chose curieux les clients était plus attiré par la curiosité que par la réelle envie d'aider. Partout on murmuré : "Encore une qui à prit un verres de trop" ou "et voilà se qui arrive à se promener la nuit dans Akanterra". Mais la silhouette mystérieuse avait jeté comme un froid sur les conversations qui c'était vivement tourné vers lui.
Dans l'imagination des buveurs du soir nulle doute, une fille ensanglanté sans connaissance et une sombre silhouette masquant son identité, l'affaire était toute faite.

"Montait là dans votre meilleur chambre aubergiste... et montait de l'eau chaude, et des serviette propre..."

Une chose de sure cette voix n'était pas celle d'un assassin, sûrement beaucoup trop chaleureuse. L'homme c'était approché du comptoir et il y avait fit tombé une lourde sacoche de cuire qui s'éventra pour laisser déverser un flot de pièce : des dragons d'or.

"Et que ses gens là bas trouve gîtes et couvert à leur volontés..."

Avait t'il dit en désignant d'un doigt gantée la table de Sagato et Gwen, ou se tenait Perceval, Aigle, et Yoko. L'homme qui n'était autre que Rall chuchota quelque chose au petit garçon qui traînait dans les parages et qui devait être fils d'une serveuse ou autres... Le petit garçon saisi une lettres et vint la porter à Sagato en échange de quelque dragon de cuivres. La lettre n'était autre que les consignes, et la bienvenue de Iluunia.
Rall vérifia d'un coin de l'oeil que la lettre arrivé à bon port et retira lentement sa capuche pour libéré le mystère sur sa personne; puis il suivit les deux gardien qui emmenait Rikku à l'étage...

Je ne sais pas ce qui m'arrivais , je ne sentais plus rien , je ne voyais plus rien et j'avais mal à la tête .
Je sentis une présence prés de moi :
Vin...........cent..............
Le noir était là , je n'étais plus consciente de mes mouvments et de mes gestes . Mes pensées n'allaient que vers Vincent , je voulais le revoir si je devais mourire mais je vis un drole d'énergie qui venait vers moi , elle me fit ouvrir un peu les yeux , je voyais bien et vit un belle homme blond devant moi , je lui souris et les referma un peu ...

[Hrp dur dur de bosser la journée et de reprendre le train en marche tous les soirs. Aigle désolé, je réponds pour toi (J'espère que t'aime la gentiane) [/Hrp]

--"Je crois que je prendrais une... C'est quoi déjà ?" demanda Aigle à Gwen.
--"De la gentiane. C'est très léger... Tu verras : C'est délicieux"
--"Et apportez-nous la carte. Nous avons faim" renchérit Sagato.

La porte s'ouvrit soudain. Une jolie blonde très peu vêtue fit quelques pas pour s'écrouler presque aussitôt. Gwen se fit la réflexion : *Encore une bourrée de trop dans les rues* Mais se ravissa sur le champ : Du sang s'étendait sur le pavé de la salle. La fille était blessée ! Rapidement un attroupement se forma autour du corps inerte, chacun y allant de son commentaire. Un homme rentra alors, le visage caché par sa capuche. Il prit les choses en main, réclamant une chambre et de l'eau pour l'inconnue qui s'était évanouie.

--"Et que ces gens là bas trouve gîte et couverts à leur volonté..." La phrase intrigua Gwen : Cet homme les connaissait donc. Un garçonnet apportait maintenant une missive à Sagato. Gwen essayait toujours de dévisager le nouvel arrivant lorsqu'il retira enfin sa capuche : Il était au vieux château lors de l'assaut final. Elle cru se souvenir qu'on le prénommait Rall et qu'il était l'oncle d'Arthur.

Sagato pris la lettre que l'enfant lui tendait. Elle était cacheté du sceau de la cité. Il l'ouvrit fébrilement et se mit à parcourir une écriture qui respirait la bonté et la rigueur :

[Hrp] C'est sympa de me laisser le texte [/Hrp]

" Très cher Sagato,

C'est avec un bonheur immense que j'accueille dans la cité un guerrier dont les faits d'armes et la bravoure étaient parvenus jusqu'à moi bien avant que tu n'arrives dans ces contrées. Bien que j'ai eu à déplorer la façon sournoise que tu as utilisé pour t'introduire une première fois dans nos murs. Tes raisons paraissaient obscures pour certains mais je les connaissais déjà car, sache que rien de ce qui se passe dans cette cité ne m'est inconnu : Je vois tout, je sais tout et je comprends toutes les choses de ce monde.

Ta classe de professeur de défense rapprochée t'attends. Elle est un peu poussiéreuse mais j'espère que dès demain, tu pourras y donner ton premier cours. J'ai mandaté Tarran, porteur de cette missive, pour veiller à ce que toi et ta fille ne manquiez de rien et aussi, pour régler les menus détails de votre arrivée. Aujourd'hui, vous êtes mes invités. Si tu as des questions, pose les lui : Il veillera à y répondre.

Iluunia. "

Sagato replia la lettre et la remis dans l'enveloppe. L'aubergiste était réapparu avec les boissons et le menu. Il laissa les femmes décider du repas et chercha Rall des yeux. Celui-ci avait disparu. Il héla le garçon qui lui avait porté le courrier :

--"L'homme qui t'a remis ça... Il est passé où ?"
--"Il est monté avec les gardes et la fille dans la chambre"
--"Préviens-le que je dois lui parler." et il donna une pièce d'or au gamin.

Les filles avaient fait leur choix : Ce serait navarin d'agneau au riz pilaf

Et la porte de l'auberge s'ouvrit de nouveau. C'était fréquenté, ce soir là! Un jeune homme entouré par une longue cape noire lui arrivant au genou, et dont le col lui cachait la bas du visage fit son apparition sur le seuil. Ses cheveux gris argentés brillèrent étrangement à la lueur de la lune qui se dévoila, sortant de la couverture d'un nuage, comme pour regarder de plus près cet étrange garçon. Sphax entra et s'installa non loin derrière Sagato. Sur le moment, il ne l'avait pas vu. Le regard du Lycan était morne, vide. Ses yeux rouges de fatigue. Quelques coupures étaient visibles sur son visage et sur ses bras. Du sang coulait par gouttes sur le sol, sous sa chaise. Il leva lentement la main, faisant signe au tavernier d'approcher. Celui-ci arriiva vivement, l'air inquiet, et demanda:

"Qu'est-ce que ce sera?
-Un verre de bière naine. Et le plat du jour, ajouta Sphax en comptant la monnaie qu'il avait réussie à trouver au fond des ses poches."

Le tavernier fit un pas vers le bar puis se ravisa, se retourna vers Sphax et demanda à voix basse:

"Dis... Ca va pas, petit? Tu veux quelque chose d'autres?
-Non ça va, merci, répondit Sphax dans un soupir de fatigue.
-Sûr?
-Oui.
-Bien."

Le tavernier s'écarta et partit chercher la commande. il revint quelques minutes plus tard avec, la posa sur la table et retourna derrière son bar essuyer des verres. Sphax but d'un trait la moitié de sa bière et attaqua sa soupe de vermicelles à la cuillère. Etrangement, alors qu'il était droitier, il mangeait de la main gauche. Et ça n'avait pas l'air simple pour lui...

[HRP: Merci d'avoir repondu pour moi Gwen, j'etait absente toute la journée...^^]

Je fis des yeux ronds lorsque je vit Rikku a terre.Oui je la reconnut tres vite, je l'avais rencontrer pour la premiere fois au lac...je croit!Puis cet homme qui entra apres qui ne montra pas son visage tout de suite.Enfin, je ne peu voir son visage car quand un petit garcon approcha, je ne cessa de l'observer.Alors que je vous enfin voir le visage de cet etrange homme, plouf, disparut.Etrange, trop etrange.
J'attends un peu, apres avoir fait le choix de mon plat qui etait le même que Sagato Gwen et Yoko.Je me leva tout en m'escusant et disant qu'il fallait que j'aille me laver les mains.Certe, j'alla me laver les mains mais j'en profita pour monter voir Rikku.Arriver devant la porte de sa chambre, Je toqua puis poussa doucement la porte, passant ma tête dans le debut d'ouverture et demanda d'une petite voix:
"Hum escusez moi...Je derange sans doute?"

Rall avait grimpé les quelques marches qui le séparaient du premier étage sur les talons des deux gardiens qui transportaient Rikku sur une vulgaire planche de bois. Ils la jetèrent sur le premier matelas comme si elle n'était qu'un cadavre... Mais Rall se retint de dire quoi que ce soit, ce genre de comportement lui avait déjà donné beaucoup trop d'ennuis.
La ravissante jeune femme à moitié dénudée, ouvrit péniblement les yeux et Rall tenta de la rassurer par un chaleureux sourire mais la fatigue lui fit refermer les yeux, elle avait déjà perdu beaucoup de sang.
Rall se tourna pour voir les serviettes et la cuve d’eau qu’il avait également montée. Il toucha doucement l’eau, elle était évidement glacé, sans doute de l’eau de pluie. Rall déplorait qu’on ne lui ait pas monté de l’eau chaude comme demandée mais après tout c’était aussi bien ainsi. Il plongea une main dans le précieux liquide pour le mettre à bonne température, puis il y plongea deux serviettes.
Ensuite il tira une chaise et s’assit prés du lit, il sortit une sacoche d’instrument en tout genres, et il plongea certain dans la cuve dont l’eau c’était mise à bouillir…
A se moment précis la porte s’ouvrit pour laisser entrée Aigle, que Rall ne connaissait évidement pas.

" Non restez… je vais avoir besoin de vous…"

Rall restait très calme, et mystérieux, ce soir plus qu’un autre sans doute. Il se servit d’une des serviettes pour essuyer lentement le sang de la peau de Rikku passant lentement sur chaque centimètre de peau. Aigle c’était approché, et jeta un regard horrifié sur les outils effrayant qui trempait dans l’eau brûlante.

" Vous la connaissait n’est-ce pas… elle a perdu pas mal de sang et ses blessures ne sont pas belle à voir… "

Rall souleva doucement le haut de Rikku qui céda en lambeau dans ses mains découvrant son sous vêtement et une horrible blessure sous la poitrine. Rall, y déposa doucement la seconde serviette qui ne tarda pas à se teinter de rouge. Puis il posa sa main à plat sur la serviette et une délicate lumière violette fit son apparition comme naissant de sa paume. Quelque seconde plus tard il retirait la serviette et il n’y avait plus rien. Il fit de même avec une blessure sur le bas du ventre, puis posa délicatement sa main sur la nuque de Rikku. Elle ouvrit lentement les yeux et après un large sourire Rall tenta de lui demander quelque chose…

" Le plus dure reste à venir…tournez vous lentement, nous allons nous occupé de votre dos….cela risque d’être très douloureux, mais il vous faudra rester consciente…serrait les dents… "

Rall n’aimait pas se qu’il allait devoir faire mais il le devait, Rikku pivota avec difficulté découvrant son dos labouré de multiple plait, outre les lambeau de chair rouge et le sang qui continuait de couler il y avait de nombreux point noirs…

" Ces plait là son affecté, il y a d’incrusté des graviers ou des échardes, je ne peux refermé les blessures tant qu’elle y sont… Vos doigts de fée vont nous être utiles mademoiselle… "

Aigle le regarda d’un air peu assuré et Rall retira ses instruments de l’eau, il y avait là une sorte de scalpel et plusieurs pinces. Un petit enfant entra dans la salle et jeta un regard horrifié à la situation. Il s’approcha de Rall et lui murmura que l’homme à la lettre voulait lui parler…
Rall se tourna vers Aigle inquiet…

" Pourriez vous commencer sans moi… je revient vite…? "

L'homme se trouva trés aimable et solidaire de moi comparé à ses voix que j'entendais et qui me traiter de tout les noms . Il me soigna , j'avais trés mal mais ça me fit du bien qu'il me soigne et que l'on m'attche de l'intéret. Aigle entra dans la piéce et aida l'homme à me soigner , il s'en alla et la fenêtre s'ouvrit , c'était Lycania , Aigle était à hauteur de mon visage , j'ouvris les yeux et reussi à dire :
Elle....ment .....sauvez vous ....
La jeune femme m'entendit mais ne partit pas , elle se retourna vers Lycania qu'allait t'elle faire ....

[Hrp : je rappelle que Lycania n'est pas toute puissante, et que Rall étant professeur reste nettement supérieur, ainsi que Ymaéré Liline et biensur Pang Tong, et Iluunia...]

Aigle n'avait eut le temps de répondre que la fenêtre s'était ouverte laissant entrée une femme aux allures félines. Elle prétendait être une amie de Rikku et Rall n'avait aucune raison de ne pas la croire ne connaissant ni l'une ni l'autre.

"Une amie qui entre par les fenêtre voilà qui est étrange... mais soite Aigle vous pouvait laisser votre place..."
"Elle....ment .....Sauvez vous ...."

Rall surprit qu'elle est la force de parler s'approcha un peu, mais elle ne pur répéter. Rall lui prit doucement la main...

"Calmé vous... votre amie vas s'occupé de vous pas de soucis reposait vous..."

Rall sentit alors quelque chose d'étrange, dans sa poigne de main censée rassurée Rikku il y avait un objet, un pendentif plus exactement... Rall mine de rien prit l'objet dans sa mains à l'insu de toute les personnes de la salle et le glissa tout aussi discrètement autour de son poigné à coté de celui des Rakiah.

"Bien mademoiselle...ne doutant pas de votre inquiétude je vous propose de venir avec moi en bas attendant que mademoiselle et finit"

Ainsi il sortit de la salle avec Lycania qui n'avait pas réellement le choix au risque de perdre sa couverture. Il arrivèrent en bas et rejoignirent tout deux la table de sagato.

"Vous m'avez demandé professeur..."

Au moment où j'allait repondre a Rall, Lycania entra par la fenetre.Je sursauta.Lycania voulait s'occuper seule de Rikku mais celle ci protesta disant qu'elle menttait.Je regarda Rikku puis Lycania, le jour où j'avais serrer la main a Lycania, j'avais sentis une mauvaise chose en elle, jusqu'a maintenant je doutais d'elle et mes doutes furent confirmer par Rikku.Je dit doucement a Rikku:

"Je ne partirais pas sans vous..."

Je regardais toujour Lycania, un pas en avant d'elle et sa risquerait de degenerer, me battre, je n'aimais pas, mais Lycania m'inspirais plus aucune confience.Je lanca un regard a Rall, un regard qui faisait comprendre que je demandais de trouver une solution, je ne voulais pas me battre.Puis Rall parti, avec Lycania.Je soupira lorsqu'ils sortirent, aurait-il vu mon regard?Je ne croit pas trop.Je me retourna vers Rikku et dit:

"Je me disais ien qu'il ne fallait pas lui faire confience...Rikku, si je me rappel bien, c'etait au parc que je vous ai rencontrez, par innadvertance, en courant, je vous ai rentrer dedant...Je m'appel Aigle..."

Je m'approcha ensuite des pince, brrrr, des objets de mutilation, je les appel ainsi.Je prit une pince et la plonga a nouveau dans l'eau chaude et m'approcha de Rikku.

"Vous etes prete?"

Quelques instant après, Sphax fit son apparition dans l'auberge. Il s'assit à une table et commanda à souper. Sagato constata qu'il était lui aussi blessé. Il se fit la réflexion que l'auberge ne méritait pas vraiment son nom de "Bon Repos". Autre fait étrange : Aigle était partie aux toilettes et ne revenait pas. L'aubergiste était revenu avec deux grands plats. L'un contenait un navarin sublime dont le fumet prêtait à la gourmandise. Ils décidèrent de ne pas attendre Aigle et se mirent à manger. Sagato en était à son troisième verre de tord-boyaux local qu'il trouvait bien léger comparé au saké qu'il buvait habituellement lorsque le messager redescendit et se dirigea droit vers lui. Il le remit enfin : "Rall l'oncle d'Arthur !"

--"Vous m'avez demandé professeur ?"
Il était accompagné d'un femme que Sagato n'arrivait pas à définir : Ange et démon dans une même âme et le combat semblait sans merci. Le samouraï percevait la folie meurtrière de l'une et les efforts que déployait l'autre pour la répudier de son corps.
--"En effet : Vous êtes Rall, l'oncle d' Arthur n'est-ce pas. Ou est-ce juste le gamin qui a pris l'habitude de vous appeler ainsi... Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai fait quérir. La lettre que je viens de lire avec attention me précise que ma classe m'attend mais... Je n'ai aucune idée de l'endroit où elle se trouve. Quelqu'un pourrait-il m'y conduire demain ?" Il poursuivit rapidement et par télépathie :
*Cette femme est dangereuse ! Du moins l'une de celle qui possède son corps... Méfiez-vous !* Il continua :
*Elle cherche un pendentif... Une fiole plus exactement et elle est capable de tuer pour retrouver cette chose. Vous pouvez me répondre par la pensée. Je lis les pensées de tout être que j'approche. C'est même fatiguant parfois...*

Pendant que Sagato transmettait son message, il regardait le lycanthrope. Celui-ci n'avait pas quitté son potage des yeux mais il le sentait attentif à tout ce qui se passait dans la salle...

J'étais toujours à ma place et j'avais donné la fiole à cet homme ; Aigle allait me soigner et il fallait que je sois forte . Elle commença ce qu'elle avait à faire , je me retins de crier et serra les dents , poussant quelques petites gémissement . J'étais épuiser et je regardais alors Aigle lui sourit et je retombais dans le noir .

Rikku ferma les yeux , elle ne respirait plus beaucoup , sa vie ne tenait qu'à un fil , elle voulait vivre mais aussi mourir chose que l'on ne comprend pas . Elle était seule depuis peu , Vincent lui avait trouné le dos ; son amie était devenue maléfique ; mais il lui restait un atout en poche : son espoir qui était celui qui la maintené en vie . Elle s'avait qu'à son réveil , elle partirait aider son amie Lycania ....

Lycania, s'était excusé et avait regagné la rue presque en courant. Yoko se leva ensuite et s'adressa à Gwen :
--"Je dois aller aux sanitaires... M'accompagnerez-vous ?"
--"Sans problème Yoko. Je vais en profiter aussi." Elle se leva et les deux femme partirent bras dessus dessous, laissant Sagato converser avec Rall. Perceval lorgnait déspérément le fond de sa chopine, se demandant par quel trou le liquide s'était envolé... *Quel poivrot celui-là* se dit Gwen.

--"Que pense-tu de papa ?" dit Yoko en resortant des toilettes.
--"A quel propos ?" fit Gwen intriguée.
--"Ben tout le temps de ma convalescence, il n'a eu de cesse de parler de toi. Et en bien... Je peux te l'assurer. Je ne suis pas idiote. Il semble très amoureux ces temps ci."

Gwen resta interloquée. Serait-il possible qu'ils aie eu tout les deux le même coup de foudre ?

--"Je dois t'avouer que j'ai beaucoup pensé à lui aussi..."
--"Vous m'inviterez à la noce alors ?..." fit Yoko en gloussant.
--"Eh pas si vite ! Il n'y a rien entre nous..."

C'est avec un sourir entendu que Yoko et Gwen regagnèrent la salle. Sphax n'avait pas bougé de sa chaise, toujours les yeux dans le vague et cette inquiétude sur le visage. En passant devant sa table, Gwen n'y tient plus :

--"Je te rejoins" dit-elle à la fille de Sagato et elle s'arrêta devant le lycan intriguée de savoir ce qu'il lui était encore arrivé depuis leur dernière rencontre aux portes de la cité.
--"Pourquoi restez-vous seul dans votre coin ? Joignez-vous à nous..."
Sphax releva la tête et la regarda avec des yeux tristes.
--"Je n'ai que faire de la compagnie des gens"
La réponse avait été brusque mais maladroite. Gwen prit le dossier de la chaise et s'installa tout en disant :
--"Vous permettrez que je reste un peu... Vous avez quelque chose sur le coeur, alors racontez-moi ce qui vous est ENCORE arrivé" volontairement, gwen avait marqué l'intonation sur ce mot...

Sphax lui lança un regard mauvais, mais ne nota pas la reflexion. Il finit sa soupe, tout en continuant de jeter des rgeards inquiets autour de lui, puis il finit par répondre à l'elfe:

"Qu'est-ce que ça peut vous faire? Ca ne vous regarde pas. Et puis... même si je vous le disais, vous ne me croiriez pas..."

Le Lycan engloutit la fin de son verre et fouilla de la main gauiche le fond de sa poche, histoire de trouver de quoi se payer un nouveau verre. Il y parvint et la tavernier fit un nouvel aller-rtour jusque sa table. Le second verre fut tout aussi rapidement terminé. mais à son grand regret, Sphax n'avait pus de quoi en payer un autre. Il remarqua alors que Gwen était toujours là.

"Quoi? Vous êtes collée à votre chaise? Ou vous avez peut-être quelque chose à dire? Si c'est le cas, dépêchez-vous, je ne vais pas rester."

Le Lycan avait en effet prévu de retourner à l'école d'Assiah essayer de dormir un peu, même s'il doutait qu'il y parviendrait.

*Mais ce type est vraiment chiant à la fin... Qu'ais-je à faire de m'encombrer d'un abruti pareil* pensa Gwne en regardant Sphax droit dans les yeux. Elle remarqua que son oeil droit, habituellement vert, avait lui aussi viré au rouge, mais ce n'était pas de la haine... De la fatigue plutôt... Elle lui répondit d'abord calmement :

--"Ecoute-moi bien, connard... Personnellement, j'en ai rien à foutre que tu aie des emmerdes. Ca te regarde ! Ce que j'en disais, c'était juste pour rester polie et aussi peut-être, pour tenter de t'aider." gwen se surprenait d'utiliser un tel langage, elle qui d'habitude parlait d'une manière châtiée. Elle s'emporta de plus belle en rajoutant :
--"Maintenant, si tu penses que te bourrer la gueule résoudra tes problème, ne te gène pas ! C'est moi qui régale !" et joignant le geste à la parole, elle lui jeta une petite bourse de pièces d'argent.

Elle allait se lever lorsque le lycan la retient...

[Attention, méga poste. >.<]


Rien de tel que de bonnes vérités jetées violemment en pleine figure alors que vous êtes nerveusement sur le point de craquer pour vous pousser à bout. Ce fut le cas de Sphax en tous cas. Il retint Gwen par le poignet et la tira vers lui pour que l'elfe se rasseye. Son oeil droit était beaucoup plus rouge maintenant mais ce n'était plus fatigue. On aurait dit qu'un flot de sang s'était libéré dans le globe oculaire. La pupille, quand à elle, était entièrement noire. Un sourire de sadique se dessina sur le coin des lèvres du Lycan. Des dents pointues étaient apparues. Il ne ressemblait plus vraiment à un humain, à présent. Il chuchota de manière à ce que simplement Gwen puisse l'entendre.

"Très bien. Vous voulez savoir? Vous allez savoir. J'espère juste que vous en avez assez vu pour ne pas partir en courant."

D'un geste nonchalant, Sphax repoussa la bourse d'argent vers sa propriétaire et continua.

"Cet après-midi, j'ai rencontré mon père, en dehors de la ville, dit-il simplement.
-Et alors, je ne vois pas ce que..., commença Gwen, mais Sphax l'interrompit.
-C'est que, voyez vous, je ne l'avais jamais vu. La seule chose que je savais de lui, c'était qu'il n'était pas humain."

Petit à petit, l'oeil droit du jeune homme redevint blanc, sa pupille grise, et ses dents reprirent une taille normale. Sphax avait retrouvé son calme.

"Je suis simplement allé me promener hors de la ville. Je le fais souvent, rien de bien anormal jusqu’ici. Je suis allé jusqu’à un petit hameau de quelques maisons, à quelques kilomètres. D’habitude, il est peuplé et on voit des enfants jouer dans la rue. Aujourd’hui, il était vide. Personne à l’horizon, aucun bruit. Curieux, je me suis approché, histoire de voire ce qu’il se passait. Je n’aurait peut-être pas du. Enfin bon… Je me rappelle que plus j’approchai du centre du hameau, plus j’avais l’impression d’une présence près de moi et un mal de tête qui empirait. J’ai su plus tard que c’était parce qu’on se sentait entre nous, et que le mal de tête s’en irait avec l’habitude… Bref ! Je tourne à l’angle d’une maison… et me retrouve nez à nez avec un personne d’à peu près ma taille, me ressemblant trait pour trait, et surtout, ayant une chevelure exactement comme la mienne. Les seules différences étant ses yeux, qui étaient entièrement rouges, aux pupilles noires, ses dents de carnassier, et sa queue, longue et poilue, de la même couleur que nos cheveux. Ah ! Et il y avait aussi ses doigts qui se terminaient par des griffes, ajouta Sphax en se passant un doigt sur une des nombreuses entailles qu’il avait sur le visage. "

Sphax se tue quelques instants, avant de reprendre. Juste derrière cette personne s’en tenait une autre, ayant les mêmes attributs, mais étant beaucoup moins élégante, pour la simple et bonne raison qu’elle était difforme, nue, et recouverte de poils sombres. Le Lycan, prenant en compte ce qu’il était lui-même se ficha un peu de leur apparence physique. Mais cette ressemblance avec cet homme le troublait énormément. Et accessoirement, la pile de cadavres derrière eux aussi. Lorsque Sphax leur fit remarquer, les deux personnes présentes lui proposèrent d’aller les rejoindre. Ce que bien sûr le Lycan refusa. Un combat s’en suivit durant lequel Sphax fut complètement écrasé par ses adversaires avec une facilité déconcertante. Son bras droit fut brisé durant ce combat. Il avait évité les autres blessures graves, mais avait été méchamment assommé. Les deux créatures s’étaient ensuite penchées sur lui, et la seconde prit la parole, alors que, dans l’incapacité de bouger, Sphax pouvait parfaitement les entendre :

"C’est marrant Sirius…
-Quoi, Lucius ?
-Il te ressemble vachement quand même…
-Et alors ?
-Alors cette couleur de cheveux, ce n’est pas courant, même là d’où on vient.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Je veux dire que c’est peut-être pas une coïncidence…
-Alors c’est quoi ?
-Arrête de faire semblant ! Donne moi le nombre d’humaine que tu as violé sans les tuer.
-Il n’y en a eut que trois.
-Mais c’est déjà énorme ! Normalement, on tue tout ce qui bouge, on les mange et puis voilà ! Mais môssieur se contente de prendre son pied avec.
-Et alors ? Je fais ce que je veux.
-Oui, mais ce gamin pourrait très bien être issu d’une de ces trois femmes là.
-Quoi ? Moi, un fils ? Tu rigoles ? Tu as encore trop respiré les vapeurs de souffre, en bas, toi.
-Mais non ! Je le fais jamais ! Ou presque… Enfin bref, ce serait marrant. Fils d’un démon et d’une humaine. Et ça donnerait ça… Pas terrible en tous cas… Peut-être qu’au niveau du goût…
-Attends, tu me fais douter. Y’a qu’une façon de le savoir."

A coup de grandes gifles, le dénommé Sirius réveilla le Lycan qui, en guise de remerciements, lui cracha dessus.

"Tu viens de quel village, dit simplement Sirius.
-Telm.
-Et ta mère s’appelait comment ?
-Hallanna. »

A moitié dans le vague, Sphax répondait à des questions auxquelles, en temps normal, il n’aurait même pas fait attention. Son regard brouillé ne pu voir la surprise et l’inquiétude sur le visage du démon. Il secoua de plus belle Sphax en hurlant presque :

"Et ton père comment il s’appelle ?
-J’en sais rien… Je sais juste qu’il est pas humain… Lâche moi je vais gerber… »

Sirius le laissa tomber sur le sol, la rage se lisant parfaitement sur le visage, tandis que Lucius riait aux éclats.

"Et ben ! Tu vois que j’ai rien respiré du tout ! Ou presque… Bref ! T’es papa maintenant ! T’es content ? »

Et il rit de plus belle.

"C’est pas vrai, s’exclama Sirius ! Elle a pas pu faire ça ! Putain de salope ! Un enfant de démon, elle aurait du le tuer ! Et merde !
-C’est bon calme toi, t’as juste à le tuer maintenant, ça changera rien.
-Me retrouver père… moi… si ça s’apprend, je serai déshonoré à jamais en enfer…
-On s’en fout je te dis, bute le, on le mange et on se casse. Ils nous attendent en plus. Apparemment, ils ont apprit qu’ils étaient pas les seuls à envisager une invasion d’Akanterra. Ils pensent à s’allier avec les autres si possible… Comme si il y en avait besoin… [Saya, tu peux t’en faire des alliés comme des ennemis. ^^ Me suis dit que ça ajouterai un peu de piment dans le conflit qui se prépare. ^^]
-Et merde ! Salope ! Tant pis, il crèvera maintenant. "

Bien entendu, pendant tout ce temps, Sphax avait eut le temps de reprendre ses esprits. Et tout ce qu’il avait entendu était loin de lui plaire. Ses dents s’allongèrent et ses yeux virèrent au rouge. Il frappa une unique fois Sirius dans l’estomac. Celui-ci s’envola et s’écrasa contre des tonneaux. Complètement pétrifié de surprise, Lucius se laissa transpercé du bras gauche de Sphax sans sourciller. Il retomba sur le sol, mort. Sirius se dépêtra de ses débris de bois et s’approcha de son fils retrouvé.

"Espèce de bâtard ! En plus de ça, t’as hérité de mes pouvoirs. Et tu crois que je vais te laisser en profiter ?"

Une bataille titanesque débuta alors durant laquelle tout le hameau fut détruit. Sphax réussit à l’emporter de peu, grâce à la surprise de son père qui ne s’attendait pas à ce qu’il ait de tels pouvoirs. Tandis que Sirius agonisait dans le caniveau, il lança à son fils avec un sourire mauvais :

"Pff… Enfoiré… J’espère que l’un d’entre nous te fera la peau…
-L’un d’entre nous… ? répéta le Lycan, interloqué.
-Tu croyais qu’on était les seuls ? Mais non ! Akanterra en regorge ! La ville en est infestée ! Même parmi les professeurs de l’école… Même toi tu en es un… Les démons ! Il y en a des tas… Et bientôt… il n’y aura plus qu’eux."

Sirius expira pour la dernière fois.

"Voilà ce qui s’est passé, acheva Sphax. Alors maintenant, dites moi… Comment vous sentiriez vous si vous appreniez que nous seulement vous avez un père démon, mais qu’en plus, vous en êtes un vous-même, capable des mêmes atrocités qu’eux, hein ?"

Lorsqu’il termina sa phrase, la voix du Lycan tremblait. On lisait sur son visage la détresse et presque la frayeur. Il se relava et se dirigea vers la porte de l’auberge, bien décidé à retourner dans sa chambre, dans la tour Aïons.