Une auberge pour le Zanpakto

Ethos marchait paisiblement dans les rues de Akanterra. Il venait du cimetière en courant pour s'éloigner le plus possible des habitations mais maintenant l'épée avait repris le contrôle sur Ethos et donc il marchait juste paisiblement tête baissé.
Depuis que Ethos c'était planté son Zanpakto car c'est comme cela que l'on appelé les épées légendaires, il était possible à tout moment que le Zanpakto prenne possession du corps pour vue qu'il soit assez puissant c'est a dire qu'il est avalé un grand nombre âme comme c'était le cas.
Sous l'influence du Zanpakto Ethos était sensiblement différent ou peut être plus vrais. En tout cas dans ces cas là pas de sagesse, pas de calme juste la sauvagerie.
Ethos possédé se promenait donc au milieu du secteur aux tavernes. Pour le moment il ne faisait que marcher et personne ne venait lui parler. Puis il tourna dans la première ruelle obscure et sinueuse. Puis au bout de quelque minute de marche il arriva enfin au bout de celle ci.
Il y avait là une vielle porte en bois massive. Il n'était rien écrit dessus et pourtant Ethos la poussa, ni lui ni le Zanpakto ne savait ou il allait mais l'instinct pousse parfois les gens à faire des choses bizarres.
Bingo, derrière la porte se trouver en réalité une petite taverne très sombre. Il y avait là une dizaine de personne tous très étrange est visiblement mauvais.
L'un de se leva est s’approcha de Ethos.
"T'est qui toi ? et comme tu nous as trouvé ?"
Ethos ne répondu pas et s’approcha doucement du comptoir
"La plus grande et propre de vos chambre..."
Demanda t'il d'un ton froid
L'homme qui s'était lever était visiblement agacée qu'il ne lui avait pas répondu et il jeta un regard vers les autres client qui regardait tous la scène comme si il attendait un feu vert de leur part.
Ethos lui restait froid et silencieux le pseudo aubergiste lui donna une clé et Ethos s'apprêtait à monter quand l'homme qui l'avait interpellé posa sa main sur son épaule et le retourna vivement pour lui donner une droite. Ethos se baissa simplement et dégaina le sabre et en quelque seconde l'homme avait la main et la gorge tranché et son corps tombé à la renverse déversant sur le parqué des litres de sang.
Tout les client se levèrent alors dégainant leur arme et l'aubergiste tenta de fuir mais Ethos d'un rapide coup de sabre lui coupa les deux pied et l'homme s'effondra à terre dans un hurlement de douleur.
L'un des autres clients courut vers lui et planta violemment sa dague dans le ventre de Ethos qui lui avait planté son sabre dans le dos.
L'homme tomba à terre et Ethos se redressât et dans une fumée blanche la plait se referma.
"ce corp est parfait..."
Ethos planta son arme dans le parqué désormais rouge et écarta les bras. Ethos comme son frère était un élémentaire de feu et il commença à se transformer. Il grandit du double de sa taille, son corps tout entier simolat ses cheveux était rouge il était beaucoup plus musclé et sa peau était lave. Il tendu alors le bras et lança une boules de feu dans la salle. Il avait tout de l'élémentaire de Feu sauf les yeux qui étaient restait noirs, signe que c'était toujours le Zanpakto qui contrôlait le corps.
Puis il s’approcha de chacun des clients et il essaya chacun de ses pouvoirs sur eux. A l'un il le brûlât simplement d'une boule de feu, l'autre il transforma l'eau de son corps en vapeur, l'autre il se contenta de le touché pour le brûler. A certain il leur arraché le coeur de ses griffe et le dévorait sous le regard horrifié de leur propriétaire. Certain ce faisait manger une jambe par un serpent de feu s'élevant au dessus de leur tête comme un basilic.
Puis une fois tous morte il reprit lentement l'apparence d'un humain comme si rien ne s'était passé. La lame du Zanpakto se mit à briller d'un blanc intense aspirant chacune des âmes les condamnant aux souffrances éternelles.
Puis Ethos tranquillement, toujours les yeux noirs monta les marches et ouvrit la porte de sa chambre. Elle était très grande avec un très grand lit et une baie vitrée sur le lac ainsi qu'une cheminé et une baignoire circulaire.

Solene entra dans une taverne, toutes les personnes ici presentes etaient que des cadavre au sol.Celle ci, touour d'un regard noir et tueur dit de faco etonner.

"Qu'est-ce qui a fait sa?Dommage! bon!"

Même si il n'y avait personne, elle avait toujour ce ton tres agressive.Solene monta les escalier apres avoir regarder chaque cadavre et avoir ecrit avec leur sang: "mes frere bientot vous me rejoindrait!".Elle monta lorsqu'elle allait ouvrit une chambre elle entendis du bruit elle reescendit:

"Qui est la?!"

Personne?Solene alla s'assoir sous un coup de vertige, dans un coin sombre,elle entendis des pas se diriger vers elle et dit agressivement

"Que voulez vous?"

[HRP]bah la j'ai rectifier mon message apres celui d'Ethos
Faut dire que je comprend mal certaine chose, faut pas m'en vouloir c'est un coup de grosse fatigue [/HPR]

Aprés notre breve rencontre au cimetiére , je ne pouvais laisser cet homme comme ça ; il pouvait faire du mal à quelqu'un , quand il partit il semblait possédé par quelquechose ; loin de là que je suis une fouineuse ; mais ; il n'était pas dans mes habitudes de ne pas terminer une tache que je n'avais pas accomplie. J'essayais donc de retrouver cet homme que j'avais soigner ; en pomenant dans le secteur tierce je vis une jeune femme qui vint vers moi , on pouvait voir de la peur sur son visage et de la peine ; je l'interpella :
Qu'avez vous madame ; que c'est il passait ?
Un homme est entré dans l'auberge de mon pére ; il l'a violemment frappé avec son sabre , ma mére m'a demandé de partitr ; elle ne voulait pas qu'il m'arrive quelquechose , on ne sait jamais.
Je demandais à cette jeune fille la description de cet homme ; elle me le dit exactement , je reconnu bien l'homme qui était avec nous au cimetiére , je demandais à la jeune fille où se trouvait cette auberge ; elle me l'expliqua et je me dirigeais vers cette taverne ; quand je rentrais à l'intérieur , il n'y avait personne , je vis alors la mére de cette jeune fille pleurait prés du corps de son mari , je lui demandais où se trouvais cet homme , elle me dit au premier étage , je montais ; puis je vis Xan qui était devant moi , je lui dis :
Est bien , jamais deux sans trois !
Le jeune homme ne bougeait pas , je m'avançais vers lui et je vis Ethos .....

[hrp] Relis le post de Ethos et le mien. On est au premier étage. :p [hrp]

Ethos découvrait peu à peu sa nouvelle chambre qu'il contait bien pouvoir occuper encore un bout de temps. Il y avait un grand lit de facilement cinq mètres de larges on pouvait y dormir à une dizaine de personne sans se sentir serrés. Mais ce lit se situait sur une sorte de balcon intérieur ou on y accédait par un petit escalier en bois qui semblait flotter dans le vide.
En bas de l'escalier il y avait une sorte de séjour en cercle avec des canapés et autres fauteuil très agréable. Il y avait aussi une table basse ou coulait une sorte de petite fontaine très agréable.
a l'opposé du balcon intérieur et du lit il y avait une baignoire circulaire la encore assez grande. On pouvait si asseoir et il y avait au centre un réservoir pour y placer des pierre incandescente pour chauffé l'eau.
Ethos était tellement obsédée par la découverte des lieux qu'il ne prêtait aucune attention au parole léger qui s'emblaient provenir du rez de chaussé.
Ethos prit un verre de vins dans n placard et s'attardait à regardait le paysage à travers la baie vitrée qui recouvrait entièrement tout un mur de la chambre.
Le Zanpakto qui dirigeait pour le moment le corps de Ethos semblait vouloir un maximum de confort et il était infiniment cruel quand il en avait l'occasion ou qu'il devait se nourrir mais i n'était apparemment pas du genre à aller massacrer une famille sans raison. Apparemment massacrer ne le gêner en rien mais il ne le faisait qu'en cas de besoin, pour s'approprié une demeure par exemple.
une voix plus forte que les autres surgit alors. Ethos se retourna et reconnue l'une des personne qui l'avait aidé, enfin qui avait aidé Ethos non possédé.
"c'est moi en effet..."
dit t'il calmement mais d’une voix beaucoup plus froide que d'habitude. Ses yeux noirs était braqué sur l'individu ainsi qu'une jeune femme qui venait d'arrivé et que le Zanpakto reconnue également.
"Quel bon vent vous amène dans ma modeste chambre d'auberge jeune gens ?"
Demanda t'il d'un tons très froid et pourtant très polis presque trop.
Apparemment le Zanpakto ne tueras pas ses personne qui avait inconsciemment aider le sabre à prendre contrôle du maître.

L'homme se portait dèjà bien malgré le coup qu'il avait prit ; ceci m'était bien étrange ; il m'avait reconnu et je m'avançais tranquilement , je n'avais pas peur de lui , il ne m'imprétionner guére , je restais tout de même méfiante sans qu'il puisse le voir , on m'avait bien apprit à cacher la méfiance et j'étais la meilleur à ce jeu là . Les yeux d'Ethos n'était plus les même que tout à l'heure , il me semblait bien qu'il n'était pas pareil ; mon intuition était infaible ; le regardant je lui dit :
Ethos allez vous bien depuis tout à l'heure ? Je vous trouve assez bizarre.
L'homme restait là à ne pas bougeai , à cette phrase il me regarda d'un air étrange ; je restais toute fois sur mes gardes sans qu'il puisse le voir , ma discression était un vrai mirage , personne ne pouvait pensait qu'en resta droite les bras le long du corps sans armes je pouvais attaquer ou me défendre ; j'attendais la réponse de cet homme ; je s'avais trés bien qu'il allait me mentir ....

Ethos toujours son verre à la main regardait chacune des personnes présentes. C'est-à-dire Xan et Saya. Il les reconnaissait les deux et Ethos leurs serait à jamais reconnaissant mais le Zanpakto lui s’en fichait pas mal mais par respect pour son mettre il ne leur ferait rien, mais il n’avait pas non plus envie de les avoir sur les bras.
Saya commença par remporter le trophée de la question la plus débile dans un tel cas. Ethos lui jeta un regard noir car il savait qu’elle voyait qu’il n’était pas lui et que c’était le sabre qui avait le contrôle. Mais comme elle s’en doutait il mentit là encore dans l’espoir qu’elle renonce après ça.
« J’avoue que je me suis rarement sentit aussi bien maintenant j’ai besoin d’un peu de repos et j’aimerais qu’on me laisse. »
Cette fois Xan aussi avait comprit qu’il n’était pas le même que tout à l’heure mais Ethos leur adressa simplement un grand sourire et dit d’un air faux :
« Et merci encore pour tout à l’heure je vous serais à jamais reconnaissants… »
Les deux personnes ne bougèrent pourtant pas et deux autres personnes arrivèrent au plus grand agacement du Zanpakto qui voulait être tranquille.
« Mais voilà encore de la compagnie, il faudra que je pense à poser un verrous sur cette porte ce n’est pas musée ici on entre pas comme ça à tout vent. »
La encore Ethos se montrait particulièrement froid et peu amical.
Puis les deux arrivantes puisque c’était des femmes commençaient à parler. La première avait une voix banal et semblait légèrement idiote sur les bords mais c’est la voix de la seconde qui marqua Ethos, non pas le Ethos possédé le vrais Ethos qui pour le moment était contraint au silence. Il avait biensur reconnue la voix de Kirine… C’est se qui lui redonna de la force et qui entraînait forcement le déclin du Zanpakto qui face à l’émotion de son maître devrait bientôt laisser place.
Mais biensur le combat intérieur ne se voyait pas à l’extérieur et Ethos se contenta de s’assoire pour cacher la fatigue passagère qu’engendrait le conflit.
Kirine à son tour reconnue rapidement Ethos.
« Kirine c’est toi ? Mais je te croyez …enfin je te croyez…morte »
Le vrais Ethos n’avait pas encore reprit le dessus mais le Zanpakto jouer pour l’instant très bien la comédie.

"Morte mais ressussiter!"

Solene regardait Ethos dans les yeux, elle remarqua une chose bien bizard, ais peu etre c'etait son imagination! Elle baissa sa garde pour retirer sa capuche mais se resigna tres vite et laissa tranquille sa capuche, elle ne pensa pas a reprendre sa garde donc elle garda sa garde baisser.

"Mait je ne pensais pas te voir ici, dans cette citée!" fit-elle: sa voix redevint froide et sadique et elle eu même un sourir demoniaque.Elle finit enfin par retirer sa capuche laissat apparaitre son visage demoniaque.Elle ranga sa dague a sa botte droite mais garda toujour une main sur son épée a deux lames.Son regard noir de demon scrutait Saya et Xan.

Je ne pus supporter le regard de cette femme qui me regardait de la tête au pied avec un regard démoniaque , j'en fis autant en la fixant avec un regard méchant . Ensuite elle regarda Ethos , apparemment il se connaisser mais je pense que ce n'était pas que de l'amitié . Xan qui était derriére qui seulement :
Il a déjà prit le contrôle ?
A ces mots je me retounais en le regardan et lui fit un signe de tête , Ethos ne put le voir car en me retournant je vis qu'il restait fixé sur le femme mais qui était elle ? Une parente ou peut être sa femme ....

Ethos voyait peu à peu tout se petit monde s'intéressait à lui. Mais peu importe pour le moment toute son attention était retenu sur Kirine qui n'avait pas changé d'un pouces et qui était toujours terriblement belle. Elle semblait surprise de le voir ici, aussi surprise que lui.
"Je vais là ou le vent me porte et tu le sait..."
En effet elle le savait mais le Zanpakto lui n'en savait rien. En réalité il utilisé les dernières force qui lui restait pour chercher dans la mémoire de son maître des élément de réponse mais Ethos lui devenait de plus en plus dur à contenir et bientôt sa réel partie prendrait le dessus sur le sabre.
D'ailleurs Xan avait bien compris que Ethos était dirigeait par le Zanpakto, et curieusement il lui posa directement la question se qui surpris le sabre.
"Comme je vous l'est dit je me suis jamais sentit aussi bien. Mais qu'est-ce que le contrôle messieurs Xan... je défis quiconque de répondre qu'il à le contrôle de son corps..."
Le Zanpakto s'arrêta de parler à travers Ethos mais il parla directement dans la tête de Xan
"J'ai provisoirement possession de se corps et si tu commence à éveiller les soupçons sur moi avec tes remarque je me verrait dans l'obligation de te faire taire à jamais. Maintenant quitte ma chambre et revient demain mon maître seras plus disposé à te parler puisqu'il auras déjà repris le contrôle.*
Le Zanpakto commencé réellement à perdre en puissance et il sentait le denoument proche.
"Et si je laisse le sang mademoiselle c'est simplement parseque je n'est pas encore eut le temps d'aller m'en charger mais croyez moi ça seras fait..."
Ethos regarda de nouveau son verre et il le but en entier.
"Bon la fête et finit tout le monde rentre chez soit..."
Le Zanpakto attendait que tous soit parti sauf Kirine biensur pour laissait la place à son maître.

Incapable de télépathie, Xan espérait que le sabre entendrait ses pensées, qui étaient les plus aimables du monde.

"Je n'ai aucune envie d'éveiller les soupçons. Je n'en ai pas besoin. Maintenant que j'ai ma réponse je vais faire ce que tu as dis. Je reviendrais demain."

Le Demi-elfe s'écarta alors du mur contre lequel il était appuyé, puis avec un sourire aimable, il dit à tout le monde:

"Je pense qu'il a raison. Allons nous en. Nous avons assez profité de l'hospitalité de cet homme. Après les évenements de ce soir, il doit être fatigué. Laissons le se reposer."

Après un dernier regard sur le sourire hypocrite que faisait apparaitre le sabre sur le visage de son propriétaire, Xan monta sur le rebord d'une fenêtre, salua tout le monde d'un sourire et d'un geste de la main, puis sauta. Trente centimètres plus bas, il atterissait sur la branche d'un arbre qui n'était pas là avant. L'arbre en question rapetissa alors jusqu'à ce que Xan puisse poser sans danger le pied au sol, puis disparu complètement dans la terre. Le Demi-elfe s'éloigna alors tranquillement, en direction du lac.

[hrp] Suite dans Mélodie nocturne. ^^ [hrp]

Ethos restait fixé sur cette femme ; il nous demanda de prendre congés ; aprés tout il vait raison , mais, l'homme était bien possédé. Je ne s'avais pas ce qui me prenait aprés tout ce n'était pas mes affaires mais quelquechose à l'intériuer de moi me disait de le faire et d'aider les gens . Je regardais alors Ethos et lui dit :
Je l'en vais moi aussi ; au revoir ...
Je me retournais et sortit ; je partis vers l'auberge où j'étais ma journée était bien remplie et je voulais repprendre des forces ; la lune brillait de plus belle dans le ciel ....