Récemment un vieil écrit fut retrouvé et restauré dans les ruines d’une prestigieuse citées. Le récit parlait d’un savant qui voulait comprendre l’avant guerre et qui aurait trouvé une bibliothèque secrète. Voici le passage en question :
Il y avait sur cette terre trois géant qui tentaient de s'imposer. Le Chaos, à l'est, qui rêvait d'assouvir le monde au nom de la puissance ténébreuse. L'Alliance qui de l'ouest chercher à repousser le Chaos au nom de la lumière. Et au sud il y avait les neutres, ceux qui défendaient l'humanité contre ses oppresseurs dans l'espoir d'obtenir une cohabitation stable. Les frontières étaient en perpétuelle changement et la région centrale depuis longtemps désertique... car rien ne pouvait survivre à la guerre.
Mais ce n'est pas cette époque qui nous intéresse (dans un premier temps). Malgré cette guerre impitoyable et les gâchis qu'il en découle j'ai rencontrer il y a maintenant quelque centaine de lunes un moine. Ce dernier disait qu'il avait vendue son âme à des entités supérieures qui l'avait prié de veiller sur une salle. Cette salle contenait toute les livres qui avaient était secrètement volée à toutes les grandes bibliothèques de l'est avant qu'elles soit détruites au nom du Chaos qui affirmait qu'il n'y avait qu'une science dans l'est...celle du Chaos.
Fasciné par un telle patrimoine je priait le Moine de me laisser la consulter. Il accepta bien vite agacée par tant d'acharnement. C'était pour moi la plus grande découverte pour un homme de mon rang. Toute les autre bibliothèque auquel j'avais obtenue l'accès ne retranscrivaient pas du tout l'avant guerre, pour cause tout avait était détruit dans l'autodafé de l'est.
Je m'employait donc à la lecture délicieuse de l'avant guerre. Il devait y avoir aux bas mots 10 000 livres et je désirais déjà les avoir tous lu. Je mis employa et je mit bien une centaine de lunes y passant nuit et jour parfois sans mangé à la seul lumière de bougie changé régulièrement par le moine. Bien que mes sources soient nombreux peu de récits était exploitable. Les ouvrages n’étaient pas entretenus et dans un état pitoyable. Voilà à peu de chose prés se que j'ai put en tirer :
Clours Mincs raconte son voyage :" Le jour de mon départ je n'était pas près à partir, et pur ainsi dire je n'en avait vraiment pas envie je me réveiller chevauchant à cheval dans de vert pâturage, je sentait la douce caresse du soleil sur ma peau : j'était mort. Comment je n'en avait aucune idée, sûrement par la grande déprime mais aujourd'hui je n'en est plus réellement conscience, dans cette terre promise je chevaucher donc sans aucun but, c'était là sans doute le réel paradis, ne pas avoir de but. Mais ce bonheur fut plus bref que je ne l'aurais crus car je me réveiller dans le noir complet. Ou pouvais-je être, j'était dans l'incapacité totale de bouger j'avais la bouge pâteuse et mes yeux était emplis de terre. En réalité j'étais en terre, sous 1m 29 de terre pour être exact, c'était là le rituelle que ma tribu attribuer au mort. Pourtant je n’étais pas mort du tout mais je ne pouvais rien y faire. Je ne pouvais pas crier car je m'étoufferais avec la terre, je devais également fermer les yeux pour ne pas devenir aveugle. J'allais mourir pour de bon cette fois c'était plus qu'évident.
Mais une voix s'éleva dans ma tête une voix douce et très agréable que je ne pouvais qu'apprécier, elle me rassura et m'expliqua qu'elle (la voix) pouvais voir à travers la terre même les yeux fermés et qu'elle me dirait quand crier. Mais je savait que crier signifier la mort mais quelle autre chance me restait t'il de toute façon j'allais mourir d'une façon ou d'une autre. Je fis donc confiance à la voix et quelque seconde plus tard on me déterra. Une parente à moi m'avait entendu alors qu'elle planté des fleur sur ma parcelle de terre et elle me déterra aussitôt.
Et puis plus rien pendant quelque temps pas même le son d'un murmure, jusqu'au jour ou je m'employait à la méditation, a peine avais-je commencé que la voix s'éleva de nouveau. Ces paroles je m'e souviendrais à jamais : Enfin je peut parler à nouveau, n'arrête pas notre méditation, ton esprit et trop fort et je ne peut m'exprimer que lorsque tu m'en laisse le choix. Je suis ton ANGE pour lutter contre la grande déprime le dieu de l'avenir à doter chaque individu vivant sur cette planète, tu es l'un des premiers à recevoir un ange. Nous allons tout deux partager ton corps jusqu'a que celui ci meurt..." le récit continuait jusqu'a l'age de 90 ans puis s'arrêtait brusquement.
Inutile d'évoquer quel sentiment me laissait cette cour passage je devais en réunir un maximum mais d'abord je devais en savoir plus sur cette "Grande déprime" qui faisait des ravages dans les temps ancien. Et je trouvait rapidement ce passage de se qui me semblait un livre religieux dont je ne trouvait point de nom d'auteur : " Au fond qu'avons nous à nous reprocher, l'humanité comporte bien peu de défaut, nous n'avons jamais fait de guerre nous ne connaissons pas la jalousie, ou la haine. Notre commerce et propre et équitable. Nous sommes tous égaux et frère, et la seule chose qui nous fait soucis et le temps qu'il feras demain. Je n'est pas peur de le dire alors nous somme un modèle de société. Ni voyait surtout pas un sorte de d'éloge de ma personne car tous ici vous dirons la même chose. Mais je vous le demande maître ..." je comprit alors que ce n'était point un texte religieux comme on trouve dans nos paroisse mais belle et bien le journal d'un religieux son dieu et c'est pour cela qu'il n'y avait point d'auteur.
"Mais je vous le demande maître pourquoi avons nous l'existence si courte, nos moine sont formel notre corps peut vivre jusqu'a 100 ans environs alors pourquoi notre humanité de dépasse guerre plus de trente ans. A cet age nous sommes tous ouverts au doute et chaque individu se voit remettre en question son existence. Et ce doute inévitable se solde à 100 % d'un suicide. C'est ce que les gens d'ici nomme la grande déprime..."
Ces simples mots me laissaient sans voix. Je n’avais jamais entendu parler d'un tel phénomène. Je lut encore des centaine d'ouvrage et je suis venue à une conclusion plutôt troublante. Dans les temps ancien la mortalité était fixait à l'age de trente ans, a cette age les hommes se voyaient en conflit avec leurs idées et leurs croyances, ils déprimé. Durant cette Grande déprime tous se suicidaient, tous sans exception. Pourtant à part ce détail la société était parfaite. Et puis, on ignore pourquoi ou comment, mais il semblerais que les dieux et choisie d'offrirent une nouvelle chance à cette humanité. Ils offriraient à chacun un ANGE, c'était une sorte de deuxième esprit avec qui les hommes partageraient leurs corps. L'ANGE était un guide spirituelle et avec ceux-ci on évitait la mort précoce et chaque individu vivait jusqu'a cent ans environ. Mais contrairement à ce que l'ont pourrais croire, là aussi on ne sait pas pourquoi ou a cause de qui, mais pas tous était doté de cette ange. Fessant ainsi appelle au plus vieux sentiment animal : la survit. Un autre sentiment nouveau apparut la jalousie. Tous ceux qui n’avaient pas d'ange en voulaient et ils comprirent rapidement que pour en avoir il fallait tuer. Tuer un homme qui en avait un. Seulement ces assassins étaient beaux et bien doté d'un Ange mais d'un Ange maléfique qui les contrôlaient entièrement. Ainsi une guerre éclata bien vite. Avec le temps ceux que l'ont appelés les damnés n'avaient même plus besoin de tuer pour recevoir un ange. L'humanité était séparé en trois les damné (ange déchus) les élus (ange bon) et les autres qui n'avait pas reçut d'ange.
Après bien des lectures qui venait que renforçait ma théorie j'avais enfin épluché entièrement la bibliothèque et je quitter les lieux avec des tas de questions sans réponses.
Ainsi cette merveilleuse découverte permet de faire une nouvelle supposition pour l’apparition de la molécule d’Okko. Celle-ci aurait pour but de réveiller l’ange qui se trouve en chacun de nous, et se dernier se manisferait donc sous la forme d’un unique pouvoir. Biensur ceci n’est qu’une hypothèse de plus mais moi Iluunia j’ai tenue à vous en faire part.
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